« Tahar Ben Jelloun exerce son art au pluriel. Il joue de ses talents sans craindre le risque menaçant l’écrivain qui ose ajouter le pinceau à la plume(…)L’exercice de la peinture est pour lui inséparable de celui de l’écriture. Il relève avant tout de l’instinct et du désir gestuel.(…) En s’aventurant sur les terres des arts plastiques, l’écrivain ouvre et renouvelle le champ de sa poésie. »Claude Mollard pour le catalogue de l’exposition Maroc regards croisés à la Galerie Trigano à Paris, octobre-novembre 2017.