Après une formation en prise de vue durant ses études d’Histoire, Aurélie Prissette travaille en photographie argentique sur l’univers de la scène, du tatouage et sur un journal intime à partir de photographies de son sac à main.
Elle explore maintenant les belles possibilités du cyanotype. Le bleu de Prusse de ce procédé photographique du XVIIe siècle lui permet de fixer les formes magnifiques (et éphémères) de la végétation et de les transposer instantanément dans une dimension fantastique, avec l’ajout de broderie.