Thomas Fronteau | ZIG ZAG Gentilly

Thomas Fronteau

Thomas Fronteau
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Entré dans la photographie par la porte de l’argentique il y a vingt ans, quand il était encore dominant sauf, déjà, dans la plupart des usages professionnels, j’y suis depuis resté fidèle pour la sensualité incomparable des images produites, et plus encore du processus en noir et blanc.

Le travail de l’argentique en noir et blanc, en jouant des propriétés matérielles du film, dans ses divers formats, tout autant que de celles du papier, permet de jouer avec les modelés et la transition entre les valeurs, de façon nuancée. Les scans n’en rendant pas vraiment justice, et rien ne vaut un face à face avec les tirages.

Mon rapport à la pratique photographique, au fil des années, n’a pas été régulier, dans la mesure où je passe bien davantage de temps à visualiser des images possibles qu’à en produire effectivement. Mais je n’ai jamais arrêté plus que quelques mois, avec une certaine prédilection, en dehors de la photographie des intimes, pour les sujets naturels, comme en témoigne ma sélection de cette année, présentant une courte série sur le Limousin en hiver.

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